Connaissez-vous Gina Carano ? Cette actrice jouait dans « The Mandalorian ». Cependant, elle a été licenciée en 2021 à cause de sa position controversée sur l’Holocauste, le Covid-19 et les droits des personnes transgenres. Toutefois, aidée par Elon Musk, cette ex-actrice a décidé de porter plainte contre Disney. En effet, elle estime que son licenciement a été abusif.
Elon Musk soutient entièrement la procédure de Gina Carano
La procédure judiciaire est soutenue et financée par le milliardaire Elon Musk. Le réseau social X a effectivement jugé que le cas de Gina Carano est un « engagement (…) en faveur de la liberté d’expression ». L’entreprise a également ajouté dans un message officiel : « Nous sommes fiers de soutenir financièrement la procédure de Gina Carano ».
En effet, l’actrice tenait l’un des rôles récurrents de la série The Mandalorian avant d’être licenciée par Disney en 2021. Dans sa plainte, Gina Carano explique qu’elle a fait l’objet de harcèlement en ligne par des extrémistes de gauche. Elle argue également que Disney a terni sa réputation et réduit ses chances de trouver du travail dans l’industrie audiovisuelle.
Que s’est-il passé ?
Du côté de Disney, ce dernier avait expliqué sa volonté de se séparer de cette comédienne spécialisée dans les arts martiaux à cause de ses « messages odieux et inacceptables » sur les réseaux sociaux. Disney affirme également que Gina Carano a dénigré « des personnes sur la base de leur identité culturelle et religieuse ».
Pour information, l’actrice avait publié la photo d’une femme juive battue sous le régime de Hitler. Elle s’était également moqué d’une personne portant plusieurs masques pendant la pandémie de Covid-19 en Californie. Enfin, elle avait suscité la polémique en adoptant « boop/bop/beep » comme pronoms sur son profil de réseaux sociaux, une décision assimilée par ses détracteurs comme une pique envers les personnes transgenres.
Néanmoins, Gina Carano a répliqué mardi dans un communiqué qu’elle n’a « jamais utilisé de langage agressif », qu’elle voulait « faire réfléchir » et que ces publications ont été faites avec « respect et occasionnellement de l’humour ». Enfin, l’actrice affirme qu’elle n’a pas bénéficié de la même latitude en matière de liberté d’expression que certains de ses confrèrs masculins.