L’un des gros blockbusters de cette année 2015, « Fast and Furious 7« , en salles le 1er avril, était très attendu vu les circonstances tragiques de son tournage et l’arrivée de James Wan au poste de réalisateur à la place de Justin Lin. Et pour tout vous dire, nous n’avions absolument pas été déçu ! Bien au contraire, FAST 7 s’impose comme le meilleur film d’une franchise rutilante qui monte en puissance et qui ne cesse de gagner en qualité au fil des films.
Synopsis : Cette fois la menace prend les traits d’un tueur à gages des opérations spéciales britanniques aussi insaisissable qu’impitoyable, qui n’a d’obsession que la vengeance. Commençant par éliminer Han à Tokyo puis s’attaquant à Hobbs (Dwayne Johnson) à Los Angeles, Deckard Shaw (Jason Statham) ne s’arrêtera que lorsqu’il aura liquidé l’ensemble de l’équipe qui a fait tomber son frère, Owen Shaw lors de leur dernière mission. Quand Shaw fait exploser la maison de Dom Toreto (Vin Diesel) faisant ainsi voler en éclat le symbole de l’unité familiale de son équipe, ce dernier se voit contraint de demander de l’aide à un autre « fantôme » (Kurt Russell) dans les hautes sphères du gouvernement. Cette fois le marché sera le rapatriement d’un prototype top secret pour le gouvernement américain. Il s’agit en fait d’un géo localisateur de pointe dont ils pourront se servir afin de débusquer l’insaisissable Shaw avant qu’il ne frappe de nouveau. Dom, Brian, Hobbs, Letty, Roman, Tej et Mia vont devoir affronter comme un seul Homme le plus grand danger de leur existence, et ce aussi bien dans leur environnement quotidien qu’au bout du monde, d’Abu Dhabi aux rues de Los Angeles…
C’est avec une sincérité et une honnêteté que cette « famille » de Fast&Furious, à laquelle on s’attache, s’adresse directement aux fans pour nous donner un spectacle encore plus fou et généreux que les précédents. On savoure ces 2h20 de pur divertissement, avec des répliques cultes, des cylindrées comme s’il en pleuvait, des cascades les plus folles et des scènes d’actions explosives (dépassant parfois la réalité) le tout mélangés à ces gros bras et badass d’Hollywood : Vin Diesel, Dwayne Johnson, Djimon Hounsou, Tony Jaa et Jason Statham qui rivalisent de contractions musculaires pour notre plus grand plaisir ! Le film se termine en beauté sur un épilogue aussi touchant qu’élégant qui rend un vibrant hommage au regretté Paul Walker, un de ses membres originels, et ou il sera difficile de ne pas être ému aux larmes par cet adieu, dont on taira les effets.
Merci à Léonardo pour sa critique.