Après le Da Vinci code et Anges et Démons, Ron Howard revient pour résoudre une mystérieuse énigme autour du poète Dante qui sauvera le monde de l’enfer !
Dans ce 3ème opus de la saga, Robert Langdon, incarné par Tom Hanks se réveille amnésique dans un hôpital italien. Il y rencontre alors le docteur Sienna Brooks (Felicity Jones) qui, il l’espère, pourra l’aider à retrouver la mémoire et empêcher un biologiste milliardaire de déclencher une épidémie mortelle.
L’intrigue est haletante et remplie de rebondissements. On s’y perd un peu parfois d’ailleurs. C’est beaucoup de détails sur l’Histoire, l’art et le poète Dantes pour une seule grosse problématique : une fin du monde proche si le professeur et sa binôme n’arrivent pas à temps pour empêcher le virus de contaminer le monde entier.
Donc autant vous dire que l’on sent les deux heures de film passer. Et c’est dommage car le scénario est vraiment bien ficelé, voir même avec des ficelles un peu trop visibles, voir ridicules à en entendre les rires dans la salle lors de deux ou trois scènes.
Tom Hanks reste le même que dans les films précédents et Felicity Jones crève l’écran. Le duo nous embarque dans une course poursuite effrénée. L’apparition de Omar Sy est très appréciable d’autant plus qu’il incarne un personnage d’une importance majeure dans l’histoire. Sa carrière prend de l’ampleur outre atlantique et c’est mérité.
D’un point de vue technique ça claque dans tous les sens. Le découpage est rythmé. La lumière nous éblouit, attention aux épileptiques. C’est la course aux cadrages les plus originaux, on sent bien qu’il y a du gros budget derrière ce film.