Le jeudi 10 juillet, on a répondu à l’invitation pour voir en avant-première, Transformers 4, le dernier bijou de Paramount, qui est sorti le mercredi 16 juillet dans les salles obscures françaises. Et en toute honnêteté, nous avons été agréablement surpris par le rendu final de ce film qui s’annonce comme le blockbuster de cet été.
Alors que le film fait un carton outre-Atlantique, le nouveau Transformers est étonnement descendu par la presse spécialisée et par de nombreux admirateurs de la franchise. Mais Michael Bay se moque des critiques et il a bien raison ! En effet le 4eme opus de Transformers réalise le meilleur démarrage de l’année 2014 aux États-Unis. En attendant le box office de la semaine en France qui pourrait renverser cette tendance… ou à la confirmer !
Synopsis : Quatre années ont passé. Les Autobots et les Decepticons ont été bannis de la terre. Jusqu’au jour où Cade Yeager, un paisible fermier texan, achète un vieux camion qui s’avère être Optimus Prime. Avec sa fille Tessa et Shane, le petit ami de celle-ci, Cade est entraîné dans une folle aventure. Car au même moment, une bande de savants fous emmenée par James Savoy veulent repousser les limites de la technologie en créant ses propres super-robots, et les Dinobots, une autre race de monstres métalliques peu sympathiques. Optimus va donc reprendre du service pour éviter l’extermination de ses congénéres et des humains peu reconnaissants
Dans ce 4 ème volet les règles ont effectivement changé. Shia Labeouf est remplace par le costaud Mark Wahlberg qu’on a vu dans « No Pain No Gain ». Les scènes d’actions palpitantes s’enchaînent tout au long du film et la 3D est fortement apprécié. Quant à la qualité du son, Dolby Atmos offre une immersion totale dans les scènes de combat épiques. Autant dire que ça balance de partout !.
Michael Bay nous livre là 2h45 d’effets visuels et sonores à couper le souffle, sans oublier les images de synthèse plus que bluffante, mais aussi des dinosaures tout en métal cracheur de feu plus vrai que nature.
Transformers : l’âge de l’extinction Le succès de l’été donc ? Certainement ! Le meilleur Michael Bay de l’histoire ? Fort possible!!
Merci à Léonardo pour sa critique.