Après un premier tome prometteur, je reviens vers vous afin de vous offrir une critique sur la suite des aventures du mercenaire Rentaro. Si vous n’avez pas lu ma première critique (ou le premier tome), je vous invite à la lire à cette adresse. Je vais essayer de vous spoiler le moins possible en évoquant que le début du tome 2. Le premier tome de Black Bullet était réellement un tome d’introduction puisque c’est à partir du deuxième tome qu’on obtient plus d’éclaircissement sur l’homme masqué et sur la fameuse mission confiée à nos héros principaux, donc l’intrigue de cette série.
Le tome 1 s’arrêtait sur l’arrivée de nos héros dans une grande salle remplie des meilleurs mercenaires de la ville. Il s’avérera qu’ils ont été convoqués par le gouverneur de Tokyo. La mission : récupérer une mystérieuse caisse des mains d’un Gastrea. La réunion fut interrompue par notre antagoniste masqué, qui révéla le contenu de la caisse et proposa un jeu mortel à l’assemblée : si les mercenaires ne mettent pas la main sur le trésor avant lui, ils mourront et Tokyo sera détruite.
Le ton est donné, l’affrontement est lancé. A travers ces deux tomes, on pouvait s’attendre à une simple chasse à l’homme mais non. En plus de cela, les passés du personnage principal et de son équipière vont être évoqués. De plus, le personnage d’Enju va être développé dans le tome 2, nous allons donc pouvoir la comprendre sur sa condition d’enfant maudit et par la même occasion, découvrir un peu le background de Black Bullet. Ensuite, c’est au tour de Rentaro d’être développé à travers le tome 3, et plus précisément la fin de ce tome. Je reste cependant assez perplexe sur la fin de l’histoire après la révélation des dernières pages, j’ai donc hâte de lire la conclusion de cette histoire en 4 tomes.
Les trois premiers tomes de Black Bullet sont disponibles aux éditions Doki-Doki.
